Il y a chez ce caennais d’adoption, normand de naissance mais voyageur de cœur, une notion primordiale d’espace intérieur. Celui qui est habité par ces vents qui sillonnent les déserts les plus secs et qui charrient à chaque fois des fragments de cultures lointaines.
« Hard folk » (André Manoukian), émotion au bout des doigts, voix soul engorgée de rocailles, la musique de Jahen Oarsman invoque aussi bien Steely Dan que Ben Harper, Piers Faccini que Tracy Chapman.
Un chant du cœur qui va puiser dans les secrets de la Pop la plus écrite comme dans l’Americana la plus brute.
Après un « Hyde and Seek » salué par la presse en 2016, le nouveau projet de Jahen Oarsman vous emmène en voyage dans le temps. Et peu importe la destination, seul le voyage compte.