Manhattan sur Mer, c’est une carte postale sans adresse oubliée sur le frigo. Au dos, le récit d’un voyage se fane peu à peu avec le temps. On y parle du New York des années 60, des longues vagues d’Australie, sans oublier la Normandie humide de Maupassant. Depuis son havre, le quatuor rêve d’ailleurs et d’avant, en promenant ses mélodies sur le chemin de la surf-pop sixties chauffée par les derniers rayons du soleil, une pop romantique aux couleurs de l’été indien.